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Le défi local ... Pass culture , Pass Live ...

  • Photo du rédacteur: Wilanthier
    Wilanthier
  • 2 août 2021
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 14 juin 2024


Un constat de base de plusieurs programmateurs, organisateurs et de managers.

La scène locale sur un territoire moyen (une ville) c’est une soixantaine de musiciens, qui jouent dans une quarantaine de groupes, et qui écument une vingtaine de lieux de diffusions (Scènes– bars- Brasseries.)

  • Et quand le tour est fait, le projet s’essouffle parfois, au lieu de se developper

  • Le mode de programmation est souvent lié à la venue du public du groupe, question rentabilité et ne s’adresse que peu souvent à de la découverte. Souvent à un public d’habitué.



Ensuite l’idée, c’est de sortir de la ville d’origine, se faire connaître, rencontrer un nouveau public quand on est un artiste. Travailler une programmation identitaire pour un lieu. Découvrir, développer son écoute pour le public. Tout est à jouer !

C’est là le Défi local. A l’heure où toutes les villes se ressemblent un centre historique gastronomique, des allées commerçantes avec les vitrines marques européennes, même les Zéniths sont les mêmes, et les satellites se reproduisent autours des Smacs. Il y a toujours le soleil associatif, qui soutien tel cause ou une autre, humanitaire, sociale, culturelle.

Ce qui diffère encore est appelé folklore ou tradition …

Ce qui diffère encore est géologique, sont ce de l’écume ou des montagnes …

A l’heure ou l’on mondialise, où l’on europe, où les régions sont redessinées, nos villes sont déjà uniformes. Et nos vies sociales aussi.

Alors on mail, on tweet, on surf, on cherche une fenêtre pour respirer de l’autrement, de l’ailleurs, de l’authentique. Comme tout le monde.

Pourtant chaque soir à la même heure a des centaines ou des miles, l’un prend sa guitare, l’autre couche ses mots. Ils sont là les créateurs. De l’humanité à libérer, à partager. Des sautes moutons, des sautes frontières qui cherchent la clé de nos oreilles pour toucher nos cœurs … pour ambiancer nos soirées à l’instinctif et nous offrir a nouveau l’émotion de nos mœurs. Que la musique, l’art, adoucit.

Sommes nous cette foule sentimentale, sommes nous si proches de trop nous ressembler … La liberté n’est pas technologique, mais la technologie nous la propose …

Faites votre de nos sites, jouez les rencontres, passer les murailles. Que nos scènes locales redeviennent des berceaux et non des prisons, qu’elles soient accueillantes pour l’autre et universelles sans se ressembler.

Un constat de base de plusieurs programmateurs, organisateurs et de managers.

La scène locale sur un territoire moyen (une ville) c’est une soixantaine de musiciens, qui jouent dans une quarantaine de groupes, et qui écument une vingtaine de lieux de diffusions (Scènes– bars- Brasseries.)

  • Et quand le tour est fait, le projet s’essouffle souvent

  • Le mode de programmation est souvent lié à la venue du public du groupe, question rentabilité et ne s’adresse que peu souvent à de la découverte. Souvent à un public d’habitué.

Ensuite l’idée, c’est de sortir de la ville d’origine, se faire connaître, rencontrer un nouveau public quand on est un artiste. Travailler une programmation identitaire pour un lieu. Découvrir, développer son écoute pour le public. Tout est à jouer !

C’est là le Défi local. A l’heure où toutes les villes se ressemblent un centre historique gastronomique, des allées commerçantes avec les vitrines marques européennes, même les Zéniths sont les mêmes, et les satellites se reproduisent autours des Smacs. Il y a toujours le soleil associatif, qui soutien tel cause ou une autre, humanitaire, sociale, culturelle.

Ce qui diffère encore est appelé folklore ou tradition …

Ce qui diffère encore est géologique, sont ce de l’écume ou des montagnes …

A l’heure ou l’on mondialise, où l’on Europe, où les régions sont redessinées, nos villes sont déjà uniformes. Et nos vies sociales aussi.

Alors on mail, on tweet, on surf, on cherche une fenêtre pour respirer de l’autrement, de l’ailleurs, de l’authentique. Comme tout le monde.

Pourtant chaque soir à la même heure a des centaines ou des miles, l’un prend sa guitare, l’autre couche ses mots. Ils sont là les créateurs. De l’humanité à libérer, à partager. Des sautes moutons, des sautes frontières qui cherchent la clé de nos oreilles pour toucher nos cœurs … pour ambiancer nos soirées à l’instinctif et nous offrir a nouveau l’émotion de nos mœurs. Que la musique, l’art, adoucit.

Sommes nous cette foule sentimentale, sommes nous si proches de trop nous ressembler ?

La liberté n’est pas technologique, mais la technologie nous la propose … Faites votre de nos sites, jouez les rencontres, passer les murailles.

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